
Les chauffages électriques fixes à résistance pour le chauffage des bâtiments dont l'enveloppe est de mauvaise qualité thermique augmentent les besoins d'importation d'électricité de la Suisse les jours d'hiver froids et augmentent le risque de black-out. Pour des raisons de sécurité énergétique, les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité sont préférables, et encore mieux si elles sont associées à une rénovation thermique des murs extérieurs. Au final, il s'agit d'une solution d'électricité pour chaque bâtiment rénové, mais avec une utilisation beaucoup plus efficace de l'électricité et une consommation d'électricité nettement moins importante. Un CECB Plus peut aider le propriétaire du bâtiment à y voir plus clair.
La Confédération, les cantons et les communes doivent économiser davantage pour financer leurs coûteux jouets. Par exemple, le 16 avril 2025, le parlement cantonal jurassien contraint le gouvernement cantonal, contre sa volonté, à économiser 100 emplois équivalents temps plein (-100 EPT) d'ici 2030. Les risques suivants existent pour les propriétaires immobiliers qui souhaitent repousser leur décision d'investissement pour la rénovation énergétique de leurs bâtiments :
Stromdirekt-Heizungen in Gebaeuden mit schlechter thermischer Qualitaet der Gebaeudehuelle erhoehen an kalten Wintertagen den Stromimportbedarf der Schweiz und verschaerfen die Blackout-Gefahr. Aus Energiesicherheitsgruenden sind strombetriebene Waermepumpen besser, in Verbindung mit einer thermischen Sanierung der Aussenwaende noch besser. Am Ende bleibt es bei einer Stromloesung fuer das einzelne sanierte Gebaeude - aber bei wesentlich effizienterem Einsatz des Stromes und insgesamt deutlich weniger Stromverbrauch. Ein GEAK Plus kann dem Gebaeudeeigentuemer hier den Durchblick erleichtern.
Die Eidgenossenschaft, die Kantone und die Kommunen müssen mehr sparen, um ihre teuren Spielzeuge zu finanzieren. Beispielsweise zwingt das jurassische Kantonsparlament am 16.4.2025 die Kantonsregierung gegen deren Willen dazu, 100 Vollzeitplanstellen bis 2030 einzusparen. Folgende Risiken bestehen fuer Immobilienbesitzer, die ihre Investitionsentscheidung zur energetischen Sanierung ihrer Gebaeude auf die lange Bank schieben wollen: